Bon À Rien
One man punk band | prix libre
Bon À Rien (BAR) ne joue que des reprises. Il reprend ce qu;il aime et ce qu'il se sent en mesure d'interpréter.
« Si je reprenais du Brassens, j'aurais l'impression de l'abîmer. Les chansons que je reprends, c'est parce qu'il me semble qu''elles acceptent l'énergie et l'électrique. »
Au début, il se cantonnait au répertoire du punk français puis il a commencé à revisiter la variété des années 60 à 80. Aujourd'hui, un concert de B.A.R., c'est du Jean-Luc Lahaye, du Hughes Aufray ou du Nicoletta beuglé (mais beuglé juste car il aime ce qu'il chante_ par un gars avec sa guitare et sa boîte à rythme, accompagné d'un nombre variable de choristes de circonstance, plus ou moins jeunes, plus ou moins sobres et plus ou moins improbables. Il ne jour que dans les bars ou dans la rue.
Passant, si tu vois BAR brancher son ampli, arrête-toi. Même si tu n'aimes ni Balavoine ni Bérurier Noir. Prends cinq minutes. Avec un peu de chance, tu verras un punk chanter « Vanina ».