Festival Arts Lézardés
6ème édition du festival | participation à partir de 5 €, pass à partir de 30 €
Ze Tour - mercredi 20 à 20h
par les 2 de la spontanée
Champion et Ultrason sont des clowns à part. Ils sont persuadés qu'ils vont faire la première partie d'un groupe mythique. Le matériel installé, les balances faites, les costumes repassés, nos deux audacieux usurpateurs avancent sur la corde raide du rock… À la clef, une tournée internationale !
Plus d'infos : lesdeuxdelaspontanee.com
La Crise de Blues - jeudi 21 à 20h - durée : 30 min
Une femme assise dans son fauteuil songe à des événements de sa vie enfouis dans le temps. Des choses définitivement disparues. C'est triste. Ou pas. Que faut-il faire du passé ? De la vie ? De la mort ? Faut-il pleurer ? Faut-il rire ? Ou alors… « Ah zut ! Quel dommage ! J'ai fini ma viande. Ben, c'est la vie ! C'est la vie et un jour j'aurai aussi fini ma vie… et j'aurai plus de viande ! » - Christine Schaller.
Suivi de Et Vian dans les dents
En cancer ce soir au théâtre de la colonne vertébrale ! Bison Ravi et Gudule vous emmènent dans leur cabaret poétique ! Ils vous susurrent un répertoire tout droit sorti du manuel de l'aspirant chansonneur, ingénieur, auteur et poète Boris Vian. Un oncle atomique, un n'adjudant poussif et un déserteur actif prêts à tout pour nous libérer des tordus qui nous dirigent, introduisent un propos résolument antimilitariste. Laissez vous ensuite porter par les mots, les faridondaines sanguinolentes et espiègles, les conseils de non mariage pour dames, les jours de nos vies effacés par la gomme des nuits… C'est en poésie que le voyage se poursuit. Gudule et Bison Ravi y fredonnent leur chanson de charme qui prône la journée de deux heures, la fin de la douleur et tous les enfants contents. Pour finir le trajet car il faut bien le finir, ils ne voudraient pas crever sans avoir inventé les roses éternelles, sans partager encore le sel de la vie, sans livrer l'ultime témoignage du poète sur son débat avec la mort…
Le cri de la révolte - vendredi 22 à 20h
Cette performance danse et chante des mouvements et des sensations éprouvées au cours d'un travail avec des femmes victimes de violences et discriminations. La performeuse travaille le « non-art » à la limite entre réalité et fiction, elle matérialise ses expériences par des actions physiques, utilisant son monde comme un miroir de son développement dans le temps et dans l'espace.
Balade poétique 1 - samedi 23 de 16h à 18h
Découverte des œuvres de Raul Cortes Castañeda, Nuax Ov, Paoletti Avellar, Denis Colin, Sylvestre Vergez, Syene Bernal Luna, Laurence Panadero, Jean Claude Aubailly, Alain Brühl, ponctuée de performances poétiques, dansées et musicales.
Justement - samedi 23 à 20h - durée : 30 min
Mais de quoi parle-t-on dans cette pièce ? Eh bien justement c'est le sujet. Le sujet ? Parce qu'il faut un sujet ? Ah ben justement on en parle. Et le public dans tout ça ? Ah ben sûrement il aura une place. Et l'amour ? Alors là l'amour, le sujet est mince… Mais attention aux sujets politiques !
Suivi de Anomalie
Anomalie plonge dans les méandres de la légitimité et de l'aspiration à réaliser ses rêves à travers Émil, un personnage maladroit, emporté dans une série d'événements étranges. Émil se retrouve englouti dans une tourmente incontrôlable. « Quand le lâché prise prend le contrôle ». Sa lutte pour retrouver le contrôle de son corps le mène progressivement à réaliser ce qu'il a toujours désiré : être sur scène.
Balade poétique 2 - dimanche 24 de 16h à 18h
Découverte des œuvres de Raul Cortes Castañeda, Nuax Ov, Paoletti Avellar, Denis Colin, Sylvestre Vergez, Syene Bernal Luna, Laurence Panadero, Jean Claude Aubailly, Alain Brühl, ponctuée de performances poétiques, dansées et musicales.
La leçon de français - dimanche 24 à 20h
Dans cette Leçon de Français, Pépito Matéo nous convie à partager son goût pour le langage, l'ambiguïté des mots et les malentendus. Prétexte à toutes les excentricités, cette pseudo-conférence en forme de leçon de choses est aussi un témoignage sensible sur l'humanité et ses différences, sur les cultures et les a priori. À travers cette traque du français, qui nous promène d'une piste de ski à un lieu de rétention administrative, le facétieux conteur n'a de cesse de repeindre le monde qui nous entoure de sa douce folie langagière et de sa poésie singulière.
Plus d'infos : pepitomateo.fr
Bar et restauration sur place